samedi 15 janvier 2011
Les obsèques à Kin
Au Congo, nous pleurons avec ceux qui pleurent et nous ne devons surtout pas contrarier la famille éprouvée.
Quand même elle barricade l’avenue empêchant ainsi aux voisins de sortir ou d’accéder à leurs domiciles, il faut laisser faire au nom de la solidarité africaine.
Quand même les hauts parleurs placés sur les murs voisins, vous empêchent de fermer l’œil la nuit, il ne faut rien dire si non, vous passer pour un homme ou une femme sans cœur.
Le calvaire des uns commence là où la douleur des autres s’arrête.
Par Ila Mbombo
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